Homicide 31 de michel Roussel

“Homicide 31: Au cœur de l’affaire Alègre” est un livre qui plonge le lecteur dans les profondeurs d’une des affaires criminelles les plus complexes et controversées de France. Cet ouvrage détaille l’enquête et les procédures judiciaires entourant Patrice Alègre, un tueur en série condamné, et révèle les dysfonctionnements et les scandales qui ont ébranlé le système judiciaire et éclaboussé la sphère politique. Le livre s’appuie sur une documentation rigoureuse pour offrir une perspective éclairante sur cette affaire qui a marqué la société française.

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L’adjudant Michel Roussel a fondé la cellule Homicide 31 en 2000, suspectant que Patrice Alègre avait commencé sa carrière de tueur bien avant sa condamnation. Roussel a réussi à obtenir des preuves pour six nouveaux meurtres et viols, mais en 2003, une tempête médiatique a perturbé leur enquête. Des notables toulousains ont été accusés de liens avec Alègre par des prostituées, ce qui a gravement endommagé les enquêtes sur des affaires non résolues. Pour éviter de lutter seul contre le système, Michel Roussel a quitté la gendarmerie. Cette affaire met en lumière les dysfonctionnements dans les services d’investigation et de justice qui ont permis à un tueur en série de sévir pendant plus de dix ans. Michel Roussel, en service pendant 24 ans, s’exprime pour la première fois depuis sa retraite.

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Description

L’obstination de l’adjudant Michel Roussel, redoutant que Patrice Alègre ait débuté sa carrière de tueur bien avant les meurtres pour lesquels il a été jugé, est à l’origine de la création, en 2000, de la cellule Homicide 31. Apprivoisant peu à peu Patrice Alègre et exhumant des dossiers oubliés, Michel Roussel parvient à recueillir suffisamment d’éléments nouveaux pour qu’il soit mis en examen dans six nouvelles affaires de meurtre et viol. Mais au printemps 2003, tout bascule. Le méticuleux travail d’investigation des gendarmes est mis à mal par une tempête médiatique : des notables toulousains sont accusés par des prostituées d’avoir un lien avec les activités de Patrice Alègre. Si le soufflé médiatique est largement retombé depuis, les dégâts sur les enquêtes concernant des meurtres et des disparitions non résolus sont considérables. Devant le souci d’un “recadrage” valant apaisement général, Michel Roussel, plutôt que de lutter seul contre le système, a décidé de quitter la gendarmerie. Au-delà des noms jetés en pâture, cette affaire révèle les dysfonctionnements des services d’investigation et de la justice, qui n’ont pu empêcher un tueur en série de sévir pendant plus d’une dizaine d’années. Michel Roussel, quarante-trois ans, a servi la gendarmerie pendant vingt-quatre ans. De 1997 à 2003, il a dirigé les enquêtes de la cellule Homicide 31. Il est aujourd’hui à la retraite et s’exprime ici pour la première fois.

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