Ce passage décrit une rencontre entre les narrateurs, Mariéta et l’auteur non identifié, et les Lastruc, une famille vivant dans un village rural français. Les narrateurs se moquent gentiment de Mathilde Lastruc, une fille de la famille, pour son retard scolaire, tandis que les Lastruc manifestent leur hostilité envers les immigrés, dont font partie les narrateurs, qu’ils estiment n’avoir pas leur place en France. Les narrateurs prennent plaisir à saluer ironiquement les villageois pour les agacer.
La scène se déroule après une fête annuelle qui a eu lieu la veille, et les narrateurs sont en compagnie d’autres jeunes du village alors qu’ils rentrent chez eux. La tension monte lorsque les gendarmes s’arrêtent à proximité, laissant présager un conflit ou un événement à venir.
Le passage souligne les tensions sociales et culturelles qui existent dans le village entre les autochtones et les immigrés, ainsi que le contraste entre la réussite des narrateurs en tant que propriétaires de leur ferme et la situation précaire des Lastruc en tant que métayers. Une atmosphère de conflit latent plane sur la scène.
